Les communications seront sélectionnées à l’issue d’une double expertise, considérant l’originalité du propos, la qualité de l’argumentation, les intérêts théoriques, méthodologiques ainsi qu’au regard de la session visée (le cas échéant), les perspectives d’ouverture comparatiste. Sont encouragées les mises en perspective et des croisements avec d’autres territoires également sensibles et vulnérables face au changement global : territoires littoraux, insulaires, de faible densité, de climats extrêmes…
Les communications pourront aussi adopter des perspectives méthodologiques ou théoriques, par exemple sur les pratiques et les méthodes de recherche. Par ailleurs, l’approche intégrée que demande le territoire, la compréhension des relations entre transformations humaines/transformations environnementales nécessitent d’instaurer des procédures pluri ou interdisciplinaires et de mettre en place de nouveaux systèmes d’observation. Les communications pourront donc réfléchir aux conséquences épistémologiques de l’analyse du changement territorial, ainsi que faire part d’outils, démarches et méthodes innovantes.